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Selon une opinion de nos sages, pour quelle raison, certaines personnes ont le minhag (la coutume) de ne pas dévoiler le prénom du garçon qui leur est né, avant le jour de la brite mila de ce dernier ; ou le prénom de la fille qui leur est née, avant le moment où l’on nommera cette dernière au Sefer Torah ?
Réponse : Car cette coutume constitue une bonne Ségoula de « Ari’houte yamim » (de longue vie) pour le (ou la nouveau-né(e), comme nous l’enseignent nos sages :” La bénédiction ne réside que sur les choses cachées !” !
Source : Sefer “Nétivote Hamaârav », page 139.